Jean-François Auber

ll intervient pour immiscer, dé-ranger l’uni-formité, ré-initialiser, décaler. L’on pourrait penser à des tentatives de trouble à l’ordre établi. Il n’en est que si peu. Il donne des répliques à la lumière avec des œuvres qui, singulièrement, y consentent. Et notre regard de se trouver engagé dans ces dialogues, de l’effleurement le plus discret aux ébats les plus fougueux.
Il intercède. Souvent il s’agit d’une invitation à re-considérer. Comme une manière d’intercéder. En faveur d’un volume, d’un objet, d’un espace, d’une surface. Ça flirte avec le salut. Avec la vie. Intervenir, c’est prendre la défense…
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